Souffrances, douleurs, tous ces maux qui hantent vos vies ne le sont pas sans raisons.  Des raisons, il y en a …

Cesse d’interférer.  Cela n’est pas notre pensée.  Relaxe-toi et laisse la porte s’ouvrir d’elle-même.

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Ecris maintenant, cela sera court.  .../...

Le monde quantique fait partie – et oui – du monde de la matière, même si elle n’est qu’en essence non encore manifestée.  D’autres mondes existent qui ne font pas partie des multivers physiques de votre existence terrestre.  Ce sont des mondes de l’Esprit, du Divin et bien d’autres.  Relis-toi quand, sous notre poussée, tu écris : « Sortant de son lieu de réflexion, l’âme s’éveille à nouveau au quantique ». .../...  Ou était-elle alors avant cet éveil ?  Quel était son monde, ce monde lui permettant réflexions, régénération et décisions ? 

Ce monde est aussi vaste que le vôtre avec tous ses univers, mais, pour le connaître, il faut quitter le vôtre.  Dans l’abandon à nous et à d’autres Grands Maîtres, vous pouvez vous en approcher et regarder par la fenêtre qui vous en dévoile un tout petit morceau, un laps de temps infiniment petit par rapport au Temps. Comme lors d’un coup d’œil furtif par la fenêtre d’un château aux milles pièces, vous ne voyez qu’une infime partie de cette réalité.  Mais, que se passe-t-il dans les autres pièces de ce vaste domaine caché derrière les murs et à d’autres moments ?  Quel en est le Maître des lieux ? Comment y vit-on ?  Et combien de semblables demeures se trouvent-elles dans le parc caché par le château lui-même ?

Tous ces mondes sont parallèles et aussi distants l’un de l’autre que le sont un château et une misérable masure, tous deux cachés au fond des bois.  Nous sommes, et bien d’autres aussi, des serviteurs du Maître des lieux et notre tâche est le lien avec l’extérieur, entre nos deux mondes séparés.  Beaucoup d’outils sont à notre disposition pour le chercheur perdu dans les bois. 

La métaphore est suffisante et nous arrêtons ici cette « courte » communication.  La Porte était ouverte, nos mots se sont envolés vers toi – et d’autres aussi.  Va maintenant l’esprit plus clair et au repos.

Ton maître que tu chéris tant.